Premièrement, en tant que jeune adolescent, je pense décidément que les jeunes comme moi, devraient apprendre à concilier leurs études à un travail rémunéré. Ce serait tout à fait éducatif, pour une personne de 18 ans et moins, d’exercer un emploi à temps partiel. On peut s’entendre sur le fait qu’un emploi procurera des capitaux à l’étudiant qui le pratique. Sans parler des autres avantages, l’argent qu’ils gagneront, devra logiquement être bien géré.  Avec l’aide de ses parents ou autre personne expérimentée, ils seraient capables de comprendre qu’il faut épargner et mettre son argent de côté pour bénéficier encore plus amplement  de leurs actifs plus tard.

Deuxièmement, en tant que nouveau membre de la population active, les étudiants, en obtenant un salaire de base, auront tendance à dépenser leurs avoirs un peu inutilement. Puisqu’ils sont jeunes et habitent encore majoritairement chez leurs parents, cela n’aura pas de conséquence extrêmement grave à long terme, à part bien sûr, qu’ils n’auront plus d’argent. Un peu plus tard, ils réaliseront leurs fautes et à l’aide de ces mêmes erreurs, ils réaliseront ce qu’est la valeur réelle de leur argent et de ce qu’ils possèdent. Pour ce faire, ils n’auront seulement qu’à être encadrés par un bon tuteur évidemment. 

Comme vous le savez surement, la situation des routes du Québec font pitiés. De plus, cela endommage considérablement nos véhicules et nous font consommer plus d’essence.  Autrefois, il y avait des postes de péages qui fonctionnaient très bien et qui générait des millions de produit  à l’État, ce qui aidait à améliorer l’état de nos routes. Donc, le retour des postes de péages serait-il une bonne idée? En tant que citoyen engagé dans notre société, je crois que ce serait une sage décision à prendre. Dans ce texte, je vous  démontrerais l’opinion publique et les profits que cela pourraient engendrer. 

Maxime Chamberland

Chère Mme Vachon,

                                 Je vous écris en ce jour pour réagir à votre article, Dans la vie, nous sommes confrontés à plusieurs problèmes quelque soit leur degré de gravité. L’écologie et la dégradation de notre très chère planète représentent une problématique dont il faut se préoccuper et qui touche et touchera chaque individu sur cette Terre.

Tout d’abord, je me sens toute de suite concerné par ce que vous ressentez. Moi aussi j’essaie de faire des efforts pour le bien de l’environnement. Comme dans toute chose il y a de l’insuffisance, de la modération ou de l’excès. Certains négligent à outrance l’environnement. D’autres sont pro-environnementalistes modérés comme vous et moi mais quelques autres sont des tyrans écologistes intégristes extrémistes comme ceux auxquels vous faites référence. Comme vous l’avez  dit dans votre article, on dirait que ces oppresseurs forment une secte ayant une influence de plus en plus déplorable et mauvaise sur la population. Ils pourraient aller jusqu’à faire dérailler leur objectif et obtenir un résultat antipode.

Ensuite, j’aimerais souligner les « bonnes actions » de certaines entreprises et de politiciens. Les écologistes ne sont pas les seuls à mal agir en pensant bien faire. Une chose qui me met, bien sûr, hors de moi ce sont ces opportunistes, surtout, lorsque leurs actions n’aident pas  à la cause réelle de l’environnement. Hélas! On ne peut les en empêcher. Il s’agit là d’une corruption verte où ce serait au gouvernement d’agir.

En conclusion, comme vous, je crois que chaque individu doit faire sa part pour l’environnement mais dans la mesure où il reste intègre et honnête avec lui-même. Tout le monde n’a pas à subir cette forme d’intimidation des écologistes. Poser des actions vertes ne doit pas devenir une corvée mais une habitude de vie naturelle. Alors je vous remercie de m’avoir fait réaliser que je n’étais pas le seul à penser comme cela.

Mes plus sincères salutations

Maxime Chamberland, un fidèle parleur.

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